Josi Hetting
Fils d’instituteur, Josi Hetting s’inscrit, après ses études secondaires au Gymnase de Diekirch, au Grand Séminaire à Luxembourg. En 1904, il devient vicaire à Haller et participe à la gestion de la paroisse de Beaufort avant d’être nommé en 1906 vicaire à Mersch. À partir de 1915, il est curé à Hachiville-Hoffelt.
Josi Hetting attache beaucoup d’importance à la langue luxembourgeoise, ce dont il témoigne dans les préfaces de ses deux ouvrages. Son poème épique national Jong Lözebureg wé et gouf se caractérise par l’étroite relation qu’entretiennent la langue du pays, le patriotisme et la religion. En 1934 paraît le roman en feuilleton D’göftegt Spengelsgre'tchen dans De Nationalist, édité par l’association Letzeburger Nationalunio’n. Dans Seercher a Sprechelcher, Josi Hetting traduit librement des fables, des dictons et des sentences en luxembourgeois. Il est aussi l’auteur d’une série de pièces de théâtre restées inédites s’adressant à des associations de jeunes.
Publications
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Année[1912]
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Année1918
Collaboration à des périodiques
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Titre des périodiquesNationalist (De)Noms utilisésJosi Hetting
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Titre des périodiquesZeitung für kleine LeuteNoms utilisésJosi Hetting
Études critiques
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Auteur(e) Martin Blum
Année1899-1913 -
Auteur(e) Martin Blum
Carlo Hury
Année1902-1932; reprint 1981 -
Auteur(e) Victor Neuens
Année[1950]
Citation:
Gast Mannes, « Josi Hetting », sous : , mise à jour du 07.05.2021, consulté le . -